« Mon vernis représente 2 moments cruciaux de ma non binarité. Le premier a été vers mes 19 ans, où lors d’un repas familiale, je me suis fait réprimander violemment parce que je portais du vernis à ongle noir. Depuis ce moment je me suis encore plus renfermé, pour faire partie du décors. Vers mes 35 ans, 16 ans à casser tout les verrous qui m’empêchaient d’être moi même, j’ai franchi une grande étape, où j’ai commencé des démarches de changement de prénom (pour être en accord avec mon genre et faire une scission avec mon passé) et juste après j’ai réussi à reporter du vernis de façon quotidienne, ce fut une grande victoire.”